Histoire
La Roche-Maurice est issue d’un démembrement de l’ancienne paroisse de l’Armorique primitive de Ploudiry et dépendait de l’évêché de Léon.
Moyen Age
Du XVIe siècle au XVIIIe siècle
La Révolution française et le XIXe siècle
Le XXe siècle
Le 2 août 1907, un train de voyageurs venant de Paris dérailla près de La Roche-Maurice et deux wagons sortirent des rails. Aucun accident de personnes ne fut à déplorer et les voyageurs durent gagner à pied la gare de Landerneau. Le 2 juillet 1922, deux femmes qui traversaient le passage à niveau de La Roche-Maurice sont renversées par l’express Paris-Brest, l’une d’elle eut le crâne fracassé, sa sœur eut la vie sauve.
Une foire se déroulait début novembre à La Roche-Maurice. Dans la décennie 1930, une grande foire se tenait à La Roche-Maurice le premier jeudi de chaque mois. Les foires ont perduré jusque vers 1955 et la “prison” qui jouxte l’église témoigne encore de ces foires si animées qu’il fallait parfois “mettre à l’ombre” quelques fraudeurs ou quelques quidams trop enivrés.
Les guerres du XXe siècle
L’après-seconde-guerre-mondiale
La commune s’est agrandie le 15 juillet 1948 en incorporant des terrains et villages situés au nord de l’Elorn, et qui dépendaient auparavant de la commune de Plounéventer. Il s’agit des villages de Kéravelloc, Créac’h-Miloc, Ty-Carré, Traon-Lez, Le Lez, Lez-Elorn, Lez-ar-Ster, Ker-Gabrielle, Ty-Ménez, Kerigeant, Kerlys et les Plants. Soit une surface de 200 hectares.
Cette modification communale sera suivie de la même modification paroissiale, en vertu d’une ordonnance épiscopale en date du 18 novembre de la même année.